L’Élixir de la Sarabuse

UN LIVRE FEU DE CAMP ! QU’Y A-T-IL DE MIEUX QU’UN ROMAN QUI NOUS ATTIRE TELLEMENT DANS SON UNIVERS QU’ON EST OBLIGÉ DE LE LIRE BIEN COUVERT ?
Michel Rubin réalise une prouesse. Il conduit ses lecteurs dans les méandres d’un récit savoureux de terroir et de mythologie, avec tant d’originalité et tellement d’humour, qu’on se prend à dialoguer avec ses protagonistes.
En rangeant ses affaires, l’auteur découvre un manuscrit qu’il a l’impression de voir pour la première fois de sa vie. Il reconnaît pourtant formellement son écriture mais le curieux récit, intitulé L’Élixir de la Sarabuse, est signé par un inconnu : un certain Roger Tricot…
Tout commence dans la petite ville de Saint-Longin-sur-Sanguine, où Roger Tricot dirige une agence de pompes funèbres. Ses moments de loisirs sont consacrés à une société d’artistes locaux, qu’il a fondée avec quelques amis : le fossoyeur et sculpteur Brichou, la cartomancienne et aquarelliste Régine du Villard et monsieur Bidet, assureur, garçon de courses et grand lecteur de livres d’art et d’ésotérisme. Ensemble, ils inventent un nouveau concept : l’art métaludien.
Un jour, tout bascule, à l’occasion de travaux effectués dans une vieille chapelle. Brichou découvre un passage souterrain… Les membres de la société doivent y affronter une créature de cauchemar : la Sarabuse.
À leur retour, ils se demandent s’ils ont rêvé et n’osent guère parler de ce qu’ils pensent avoir vécu. La vie reprend son cours, jusqu’à ce que l’ignoble Jules Massicot – un notable local impliqué dans une sinistre confrérie – remette en question la quiétude de ce petit monde…